La maison, refuge de nos passions

La maison, refuge de nos passions

Le confinement lié au coronavirus a souligné l’importance de notre maison, lieu de vie et refuge de nos passions. La couverture « Prestige Home Protection » de VdH protège votre habitation et ce qu’elle abrite.  

 

Depuis le 11 mai, le marché immobilier a repris vie. Et sur des chapeaux de roues, semble-t-il. Lors de la reprise, le site d’annonces en ligne Immoweb a enregistré un record d’affluence, avec 40% de trafic en plus et 20% d’annonces supplémentaires par rapport à la situation en temps normal. Le Belge semble toujours avoir une brique dans le ventre. Et peut-être même plus que jamais. La crise économique liée au coronavirus a fait prendre conscience que l’immobilier reste une valeur solide et tangible.

 

Home Sweet Home

Le confinement nous a aussi révélé l’importance d’un logement vaste et confortable. Une enquête menée par le groupe immobilier ERA indique que 80% des Bruxellois et des Wallons ne veulent plus acheter de maisons qui ne disposent pas de jardin. Et 78,9% ne veulent plus investir dans des appartements sans terrasse. L’enquête d’ERA montre aussi que les Belges désirent conserver leurs briques : suite à la crise, une personne sur quatre ne souhaiterait plus vendre l’un de ses biens immobiliers. Concernant l’évolution des prix, il est trop tôt pour se prononcer, mais les experts déclarent que, pour l’instant, la valeur des biens immobiliers se maintient.   

 

Une habitation bien protégée

Le confinement est pour la plupart d’entre nous l’occasion de se retrouver en couple, en famille et de constater que notre habitation est aussi notre refuge. Notre garantie Prestige Home Protection a pour ambition de protéger votre « chez vous » contre tous les incidents qui pourraient porter atteinte à votre patrimoine. Votre habitation et son contenu, votre collection d’art, vos passions… Depuis le 11 mai, VdH est à nouveau à votre disposition pour effectuer les visites de risques, dans le respect des mesures d’hygiène scrupuleuses. Vous trouverez ici plus d’informations sur nos couvertures Prestige Home Protection et Fine Art Insurance.

Le manoir d’Al Capone mis en vente

Le manoir d’Al Capone mis en vente

L’agence Barnes a mis en vente un bien très spécial. Située à Miami, la demeure a appartenu au gangster le plus célèbre du siècle dernier. Visite des lieux…

 

C’est un manoir de style néo méditerranéen, situé sur Palm Island et surplombant la baie de Miami. Une demeure somptueuse qui, si elle pouvait parler, aurait bien des secrets à dévoiler… Ce manoir, construit en 1922, fut en effet acheté 6 ans plus tard par Al Capone, en pleine période de la Prohibition. C’est dans ce paradis doré que « Scarface » (« le balafré ») a fomenté ses plans macabres, dont le fameux « massacre de la Saint-Valentin », au cours duquel il fit exécuter ses 7 principaux rivaux de la mafia de Chicago… Alors que la plupart des grands patrons du crime organisé ont toujours vécu caché, Al Capone, lui, a profité pleinement de son manoir de Floride, qu’il n’a quitté qu’entre 1931 et 1939, lorsqu’il fut incarcéré pour fraude fiscale.

 

Des toilettes Art Déco

Ce manoir de 570 m² a été entièrement restauré par ses propriétaires actuels. La villa principale comporte 4 chambres, tandis que l’on trouve 2 chambres supplémentaires dans le pool-house qui, dit-on, aurait accueilli bien des célébrités du temps de Capone. Cette maison classée a conservé de nombreux éléments architecturaux d’époque, dont un cabinet de toilette Art déco, dont Al Capone était très fier. Quant au flamboyant jardin de 2.800 m², il est parsemé d’arbres centenaires. La résidence comprend aussi une piscine de 18 mètres sur 9, qui était la plus grande de Miami dans les années 30. La propriété donne aussi sur un ponton, où peuvent s’amarrer des bateaux de plus de 30 mètres de long.

 

Une belle plus-value…

Cette somptueuse résidence est donc entrée dans la légende. Al Capone y a vécu jusqu’à sa mort (par arrêt cardiaque), en 1947. La maison est ensuite restée dans la famille jusqu’en 1952, lorsque sa veuve, Mae, a décidé de se séparer de la résidence. La propriété vient à nouveau d’être mise en vente, par la maison Barnes, pour le prix de 12,95 millions de dollars (environ 11,7 millions d’euros). Il y a 90 ans, le gangster balafré l’avait seulement payée 40.000 dollars…

 

Si vous désirez assurer votre maison de prestige dans les meilleures conditions, n’hésitez pas à nous demander un devis ici.