« Donation Cover », pour un don serein et sans surprise

« Donation Cover », pour un don serein et sans surprise

De plus en plus de gens ont l’envie légitime d’aider financièrement des personnes qui leur sont chères en effectuant des donations. C’est dans ce contexte que VdH a lancé, il y a un peu plus de 5 ans déjà, l’assurance « Donation Cover ». Celle-ci couvre le montant des droits de succession et ce pour une prime largement moins élevée que les droits de donation à payer en cas de donation enregistrée auprès d’un notaire.

 

Quelles sont les règles générales en matière de donation et de droits de succession en Belgique ?

Si vous effectuez une donation et l’enregistrez, vous devrez vous acquitter de droits de donation.  Le montant de ces droits varie en fonction de la Région du pays, de la valeur des biens transmis et du lien de parenté entre le donateur et le donataire.

Un don (mobilier) manuel et donc non enregistré est toutefois également légal (une donation de bien immobilier doit, par contre, toujours être enregistrée). Vous ne payez alors pas de droits de donation. Cependant, si le donateur décède dans les 3 ans, il sera tenu compte de cette donation pour le calcul des droits de succession.

Pour éviter ces droits de succession en cas de décès du donateur dans les trois ans suivant la donation non enregistrée, la solution la plus avantageuse est l’assurance « Donation Cover » de VdH.

 

Quel est l’avantage de la « Donation Cover » de VdH ?

En cas de décès du donateur dans les 3 ans suivant la donation non enregistrée, cette assurance vous verse un capital permettant de payer les droits de succession réclamés. Si on considère en sus que la prime d’assurance est toujours moins élevée que les droits d’enregistrement de la même de donation, cette solution est idéale et sans risque.

 

Un exemple chiffré pour marquer l’avantage de la « Donation Cover » ?

Un homme de 60 ans, vivant en Flandre, fait une donation de 1.000.000 € à sa fille.

S’il enregistre la donation, des frais de 3% seront prélevés, soit 30.000 €.

S’il n’enregistre pas la donation et décède dans les 3 ans, le donataire devra payer des droits de succession qui s’élèvent à 222.000 €.

S’il souscrit l’assurance « Donation Cover », la prime unique (pour 3 ans) sera de 2.489,40€ (tarif non-fumeur).

 

Quelles seront, dans l’exemple ci-dessus, les formalités médicales à remplir pour souscrire à l’assurance « Donation Cover » ?

L’assuré devra effectuer quelques analyses médicales auprès du médecin de son choix. Et l’âge limite à la souscription pour cette garantie est de 79 ans.

 

Le ski sans les soucis avec VdH

Le ski sans les soucis avec VdH

Certains sports ou loisirs comportent des risques. Pour les pratiquer sans réserve, VdH propose une assurance spécifique et sur mesure, dont la couverture est plus large que celle des assureurs classiques.

VdH assure vos passions. Et donc aussi vos loisirs actifs. Le ski est un bon exemple d’activité privée comportant des risques. Une mauvaise chute peut nuire gravement à votre activité professionnelle… Et en cas d’accident en tort, l’intervention de la mutuelle est souvent limitée. Pour dévaler les pistes l’esprit libre, VdH propose l’« Assurance Individuelle Accidents ».

 

Une large couverture

L’« Assurance Individuelle Accidents » va plus loin que le ski et s’adresse à toute personne pratiquant un sport ou hobby à risque ou exerçant une activité dangereuse. Mais elle couvre également les personnes séjournant dans des zones à risque et les organisateurs d’activités sportives. « Les profils les plus courants qui optent pour cette couverture sont les personnes qui pratiquent un sport ou hobby à risque, comme la compétition auto ou moto », détaille-t-on chez VdH.

 

Du sur-mesure

Le ski entre également dans le champ des activités couvertes. « La prime sera bien entendu calculée en fonction du risque : hors-piste, héliski, etc. Notre produit Individuelle Accident peut couvrir 4 garanties : le décès, l’invalidité permanente, l’incapacité temporaire totale et les frais médicaux. Les capitaux couverts dépendent des souhaits du client et de son revenu. Les capitaux maximum dépendent de l’activité exercée et du profil du client », explique-t-on chez VdH, qui précise qu’il n’y a pas de limite d’âge pour souscrire à ce produit.

 

La spécificité VdH

Outre la grande expertise de ses spécialistes, la force de VdH est aussi de couvrir des risques que les assureurs classiques ne prennent habituellement pas considération. Un autre atout de VdH est de s’ajuster finement aux moindres désirs du client. L’« Assurance Individuelle Accidents » propose une solution adaptée à chaque situation. De quoi profiter pleinement et librement de vos moments de relâchement.

VdH et la Brafa, une nouvelle histoire de passion

VdH et la Brafa, une nouvelle histoire de passion

Du 26 janvier au 2 février 2020, Tour & Taxis s’est transformé en galerie d’art géante, à l’occasion de la 65e édition de la Brafa, véritable rendez-vous d’hiver des esthètes. L’assureur VdH était bien sur présent à cet événement.  

 

La Brussels Art Fair est l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses foires d’art au monde. Cette année, l’exposition a  fêté ses 65 ans et a célèbré cet anniversaire avec la mise en vente aux enchères caritative de cinq segments originaux du Mur de Berlin. Il y en a pour tous les goûts à la Brafa, qui réunit 133 galeries belges et internationales. Tout le monde y trouve son bonheur : de l’amateur de bas-reliefs de l’Antiquité égyptienne aux fans d’art Moderne, en passant même par la bande dessinée, neuvième art confirmé.

 

Le Belge, collectionneur dans l’âme

Cette année encore, l’assureur VdH a organisé une visite guidée de la Brafa pour quelques-uns de ses courtiers partenaires. Un tour des galeries d’une heure trente, qui a passé en revue les pièces maîtresses de l’exposition, détaillées par des guides spécialisés.

Chez VdH, on note, depuis des années, un intérêt croissant pour le domaine de l’art, le Belge étant collectionneur dans l’âme. La Brafa fourmille de trésors inédits, d’œuvres exceptionnelles et surprenantes, de trésors rassemblés telle la très belle collection d’œuvres de James Ensor présentée par le galeriste Samuel Van Hoegaarden. La Brafa est également un lieu inédit où toutes les œuvres présentées sont à vendre. Les galeristes que nous avons rencontrés affichaient bien souvent un large sourire. Cette édition 2020 est, une fois de plus un très beau cru et l’Art reste une belle valeur refuge pour les amateurs qui sont de plus en plus nombreux.

La Brafa, c’est aussi l’occasion de découvrir des pièces uniques, exceptionnelles, qui resurgissent durant quelques jours avant de se cacher, bien souvent pour les trente prochaines années dans des collections privées. L’art contemporain a le vent en poupe. Certains artistes profitent d’une actualité toute chaude tel le français Bernar Venet dont l’oeuvre « l’Arc Majeur » défie la technologie et embelli depuis quelques mois l’autoroute E411.

 

Des œuvres bien assurées

En ces temps de taux d’intérêt bas, l’art est devenu pour beaucoup une valeur refuge. Mais que l’art soit passion, investissement ou les deux à la fois, il importe de se prémunir contre les dommages qui pourraient porter atteinte à ce patrimoine. L’assureur VdH propose des formules sur mesure à ses clients amateurs d’art. Les œuvres sont bien souvent assurées en valeur agréée. Cela signifie que les parties conviennent de la valeur de l’objet lors de la souscription. Si l’objet vient à disparaître, c’est cette valeur qui sera remboursée, sans aucune discussion.

De la bande dessinée aux antiquités en passant par les peintures et autres sculptures, la couverture Fine Art Insurance de VdH protège tous vos objets d’art, que vous soyez un collectionneur privé, professionnel ou même une institution culturelle.

 

Vander Haeghen, l’art d’assurer les passions

 

Pour les infos générales relatives à l’édition 2020 de la Brafa et la liste des pièces maîtresses qui ont été présentées sur place, surfez sur https://www.brafa.art/en/highlights.

Porsche fête les 75 ans de Jacky Ickx

Porsche fête les 75 ans de Jacky Ickx

À l’initiative de l’importateur belge, Porsche célèbre les 75 ans de Jacky Ickx avec une série spéciale et limitée de la dernière 911.  

 

Ce 1er janvier 2020, Jacky Ickx a fêté ses 75 ans. Pour l’occasion, Porsche lui dédie une série spéciale de sa dernière 911 (génération 992). Baptisée « Belgian Legend Edition », c’est la toute première série spéciale basée sur la 911 « 992 ». Un honneur pour notre petit pays et son grand pilote.

 

Des liens forts et durables

Jacky Ickx possède l’un des palmarès les plus riches de l’univers de la compétition automobile. Il a brillé au Mans, mais aussi en Formule 1 et en Championnat du Monde d’endurance. Il a également connu le succès dans le sable du Dakar. Une carrière riche et longue de plus de 30 ans, pour ce pilote complet à l’esprit gentleman. L’homme a aussi tissé des liens très étroits avec Porsche. Il a remporté sa première grande victoire avec la marque lors des 24 Heures du Mans 1976, au volant d’une 936. Un succès suivi d’une floppée d’autres, sur tous les continents. Porsche a donc décidé de célébrer à sa façon les 75 ans de Jacky.

Un travail d’équipe

L’initiative du projet émane de la maison D’Ieteren, l’importateur belge de Porsche. Mais cette série spéciale « 911 Belgian Legend Edition » a été développée par une équipe d’experts du constructeur, avec la collaboration de Jacky Ickx en personne. Le travail a duré 18 mois. Basée sur la 911 Carrera 4S, cette série spéciale dispose de décorations et d’équipements spécifiques.

Les designers se sont inspirés du fameux casque bleu et blanc de Jacky Ickx. On remarque en effet la teinte extérieure, baptisée « X Blue », identique à la couleur du casque emblématique. La ligne blanche gravée au laser sur les jantes fait également référence au casque du pilote.

On note aussi derrière la porte conducteur un badge portant le drapeau belge et la signature de Jacky Ickx. Une signature que l’on retrouve dans l’habitacle, gravée en relief sur l’accoudoir central. Une couture en croix Pebble Grey court également sur le tableau de bord, les panneaux de porte et les sièges Sport Plus. La clé de contact est peinte en  « X Blue » et porte la signature de Jacky Ickx. Enfin, la voiture grandeur nature s’accompagne d’une miniature du modèle avec numéro de série et photobook de la production du véhicule. Le tout est accompagné d’une lettre signée par Jacky Ickx. Voilà donc une série spéciale en bonne et due forme.

 

Un collector

Qui dit série spéciale de prestige dit aussi série limitée. La Porsche 911 Carrera 4S « Belgian Legend Edition » ne sera produite qu’à seulement 75 unités, en référence à l’âge actuel de Jacky Ickx. Cette Carrera 4S (moteur 3 litres Flat-Six de 450 ch) très exclusive ne sera commercialisée qu’en Belgique. Elle est facturée 199.911 € TTC. Mais à l’heure d’écrire ces lignes, presque toute la production avait déjà trouvé preneur… Car cette série spéciale et limitée est bien sûr déjà un collector.

La maison VdH assure votre voiture de prestige dans les meilleures conditions, qu’il s’agisse d’un modèle neuf, d’un youngtimer ou d’un oldtimer.

 

VdH expose la voiture la plus chère du salon !

VdH expose la voiture la plus chère du salon !

C’est sur le podium VdH que trône la voiture la plus chère du salon de Bruxelles : un coupé Mercedes CLK-GTR. On fait les présentations.  

Le salon de l’automobile de Bruxelles bat son plein jusqu’au dimanche 19 janvier. Parmi les nombreux palais, il en est un qui inspire le respect et où les visiteurs marchent en silence et sans se presser, pour mieux contempler chaque courbe des modèles. Il s’agit bien sûr de l’espace « Dream Cars », qui rassemble 40 voitures issues de 28 marques prestigieuses. Dans cet écrin soigneusement décoré se nichent les automobiles les plus exclusives du salon. On pense aux récentes Bugatti Chiron Sport, Aston Martin DBX et DBS, Rolls-Royce Cullinan, Ferrari F8 Tributo ou encore à la Ford GT. Mais on trouve également des marques comme Lamborghini, Mercedes-AMG ou Porsche. Il y a aussi quelques curiosités, comme les créations belges de chez Gillet et Kruger ou encore les tricycles américains Vanderhall. Il y a même une voiture volante : la Pal-V…

La Mercedes CLK-GTR n°2

C’est également dans le palais « Dream Cars » que l’on trouve la voiture la plus chère du salon. Mais pas sur le stand d’un constructeur automobile. Il ne s’agit d’ailleurs pas d’un modèle neuf… Non, l’engin prend place sur le podium de la maison VdH, spécialisée dans l’assurance de véhicules de prestige. Et il s’agit d’une Mercedes CLK-GTR, prêtée par le concessionnaire de véhicules d’exception Deman Brussels. Très convoité par les collectionneurs, ce modèle conçu en 1997 n’a été produit qu’à 20 exemplaires en coupé et 6 en Roadster, dans le but d’homologuer des versions de compétition en catégorie FIA GT1. Celle du podium VdH est le 2e exemplaire produit !

Rien à voir avec une CLK…

Ne vous fiez pas au nom : cette voiture n’a rien à voir avec la gentille CLK de l’époque ! A part les feux avant et quelques éléments intérieurs, tout est différent. Il s’agit d’un modèle totalement à part, taillé pour la course et conçu autour d’une coque en fibre de carbone ultra-rigide. Le moteur prend place en position centrale arrière. Il s’agit à l’origine du bloc V12 piqué au roadster SL600 de l’époque (génération R129), mais totalement retravaillé et allégé. La cylindrée passe de 6 à 6,9 litres et la puissance de 394 à 612 ch. Une cavalerie qui transite par une boîte séquentielle à 6 rapports. De quoi catapulter cette barquette de 1,5 tonne de 0 à 100 km/h en 3,4 secondes. La barre des 200 km/h est franchie en moins de 10 secondes et l’engin pointe à 323 km/h. A noter que deux coupés furent même équipés d’un moteur poussé à 7,3 litres et 664 ch…

Un bien rare

Dans tous les cas, la Mercedes CLK GTR est un bien rare et donc très cher : le prix de l’exemplaire qui trône sur le podium VdH est estimé à environ 5,5 millions d’euros. Ce modèle est donc encore plus exclusif que les autres véhicules de prestige du salon (la Bugatti Type 55 de 1932 exposée sur le stand Bonhams n’est toutefois pas très loin…). Si vous voulez voir cette Mercedes CLK GTR de près, il suffit d’aller admirer le podium VdH dans le palais « Dream Cars ». Et n’hésitez pas à contacter la maison VdH par mail ou téléphone pour un devis concernant l’assurance de votre voiture de prestige. VdH vous proposera une couverture sur mesure, qu’il s’agisse d’un modèle neuf, d’un youngtimer ou d’un oldtimer.

VdH au milieu des « Dream Cars »

VdH au milieu des « Dream Cars »

La maison VdH, spécialisée dans l’assurance de véhicules de prestige, est présente pour la première fois au salon de l’auto de Bruxelles. Et elle y rentre par la grande porte, celle du palais « Dream Cars »… 

 

« Dream Cars », c’est le côté très chic du salon de l’auto de Bruxelles. Le palais des voitures de rêve, où défilent chaque année plus de 100.000 visiteurs, qui touchent des yeux les modèles exclusifs de marques aussi prestigieuses que Ferrari, Bentley, Lamborghini, Aston Martin, McLaren et bien d’autres enseignes de prestige. On trouve aussi cette année quelques artisans de l’automobile et leurs créations, comme le célèbre carrossier italien Touring Superleggera, mais aussi un engin belge : la Krugger FD, première réalisation automobile de Fred Krugger et modèle unique.

 

Une présence très exclusive

« Pour la seconde fois de notre histoire, nous avons été contraints de mettre en place un comité de sélection destiné à valider les voitures présentes au palais Dream Cars. Car nous recevons désormais plus de demandes des exposants que nous n’avons de podiums disponibles », explique Pierre Lalmand, Directeur des Salons pour la Fédération belge et luxembourgeoise de l’automobile et du cycle (FEBIAC). La maison VdH a toutefois réussi à se faire une place au milieu des voitures de rêve, avec un podium à son nom. VdH partage en effet cette passion pour les véhicules de prestige et leur univers. Et dans le palais « Dream Cars », Vdh ne passe pas inaperçu, puisque sur son podium trône une Mercedes CLK GTR, prêtée par le concessionnaire de véhicules d’exception Deman Brussels. Très convoité par les collectionneurs, ce modèle conçu à la fin des années 90 n’a été produit qu’à 20 exemplaires en coupé et 5 en Roadster, dans le but d’homologuer des versions de compétition. Celle du podium VdH est le 2e exemplaire produit ! Un modèle qui attire assurément autant de regards que les Dreams Cars contemporaines. Ce collector d’une grande valeur rappelle que la mission de VdH est d’assurer dans les meilleurs conditions les véhicules rares et de prestige, qu’ils soient neufs, « young » ou « classic ».

 

Infos : www.vdh.be et www.salondreamcars.be.